La formation de nos blessures

Tôt on se rend compte que si l'on ose être soi, ça dérange. Donc on en conclue que ce n'est pas correct d'être soi, ce qui crée les crises (adolescence par exemple).

Étapes :
  1. La joie d'être soi
  2. La douleur de ne pas en avoir le droit
  3. La révolte et la colère
  4. La résignation dans une nouvelle personnalité pour les autres

Les blessures se créent à la 3e et 4e étape pour nous protéger des souffrances de la 2e. Elles apparaissent chronologiquement dans nos vie dans cet ordre :
  1. Le rejet ---------------------------------> le fuyant
  2. L'abandon -----------------------------> le dépendant
  3. L'humiliation --------------------------> le masochiste
  4. La trahison ----------------------------> le contrôlant
  5. L'injustice ------------------------------> le rigide

Le masque est porté lorsqu'on veut protéger sa blessure.
+ la blessure est importante
+ on en souffrira souvent
+ souvent on portera le masque

Exemple :
je porte mon masque (pansement) de rigide quand,
Je ressens de l'injustice
ou je me juge injuste
ou j'ai peur de me faire juger comme injuste

Ex. de la main blessée:  l'autre me prend la main par amour, il me fait mal, c'est bien parce que j'ai décidé de ne pas m'occuper de ma blessure. L'autre n'est pas responsable, il ne peut qu'être étonné.

Regarder avec compassion la partie blessée, chez l'autre comme chez nous. Cessons d'accuser l'autre ou soi.
C'est alors que les choses se transforment.

Les blessures s'inscrivent dans la forme de notre corps car c'est le mode de communication utilisé par notre Dieu intérieur. L'ego survit grâce nos croyances dont il se nourrit.

Lorsque un comportement nous déplait chez quelqu'un, c'est parce qu'il revêt son masque pour éviter de souffrir. Ex. de l'adolescent qui fait le dur, parce qu'il a peur et est vulnérable.

L'émotionnel et le mental changent plus vite que le corps, comme il est plus facile de désirer ou de s'imaginer partir pour un grand voyage que de le planifier.


Le parent du même sexe, nous apprend à aimer (les autres, soi). Le parent du sexe opposé, nous apprend à être recevoir de l'amour.

Accepter le parent blessant, c'est s'accepter et donc guérir.
La blessure vient de l'incapacité à se pardonner celle que nous nous faisons et que nous faisons aux autres. C'est difficile car on ne voit pas ce que nous nous en voulons.

Nous reprochons aux autres tout ce que nous faisons nous-même et ne voulons pas voir. Nous attirons à nous, des personnes qui nous montrent ce que nous faisons à nous-mêmes et aux autres.

Ces masques sont portés quelques minutes par jour. Quand on est ''en réaction'' on est pas centrés. C'est important d'être conscient des moments où l'on est en réaction et des moments où l'on est nous-mêmes. Cela nous permet d'être maître de soi et donc d'être heureux.

Les personnes qui se cachent sous de la chirurgie, dissimulent les parties altérées correspondant aux blessures.

Ce n'est pas ce que l'on vit qui fait souffrir mais la réaction à ce que l'on vit, à cause des blessures non guéries.

Prise de poids = je ne prends pas assez de place dans la vie (sauf chez le masochiste qui est là pour l'humilier)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

merci pour cette article interessant